Demain j’accrocherai mon premier dossard de 2018.
L’occasion d’un petit retour en arrière sur ce que je met dans mes assiettes les veilles de course. Avouons le, après la question « qu’est-ce-que je vais mettre », arrive très vite « qu’est-ce-que je mange »!
Dans ma vie d’avant, il y a looongtemps, les veilles de compétition étaient synonymes de diète. Indispensable pour passer l’horrible épreuve de la pesée le lendemain matin. Au moins, c’était facile, on ne se posait pas la question…Qu’est-ce-que je mange? rien. Qu’est-ce-que je bois? rien non plus. Bon allez, en avant Guingamp!
Depuis 2 ans, j’accroche des dossards. Et là ce n’est plus la même histoire. Il suffit de taper « que manger la veille d’une course » dans un moteur de recherche pour comprendre qu’on n’est pas la seule à se poser la question.
Alors en 2 ans, j’en ai testé des choses! Jusqu’à trouver ce qui me convient. Car c’est un peu ça le secret, lier l’utile, l’agréable, le pratique et l’efficace. Et cette subtile formule magique est propre à chacun. Le seul dénominateur commun, comme pour tout, c’est le BON SENS. (petit aparté: je devrais créer un nouveau courant, lebonsensime , car franchement ça manque souvent alors que c’est pourtant ça la clef!)
♣ Les pâtes
Bah oui, forcément. Qui dit course dit pasta party! D’abord complètes, avec pesto et steack haché. Puis blanches, avec sauce tomate.
Bon, je me sentais bien calée, mais un peu trop. J’allais me coucher le ventre lourd, je n’avais pas forcément faim le matin. Et je pense que je digérais ça pendant les 48h qui suivaient!
♣ Le riz
Je me suis dit que j’allais essayer le riz. Et modifier mes accompagnements. J’ai donc fait plusieurs courses avec mon traditionnel « riz-thon-cancoillote ». Une bonne « pâtée », un peu plus digeste que les pâtes quand même. Peut-être un peu salé en bouche, mais avec mon aliment-préféré-de-tout-l’univers, LA CANCOILLOTE! Et ça pour le moral, ça n’a pas de prix!
♣ Le sarrasin
Là c’est la révélation. Du sarrasin j’en avais déjà mangé comme plat lors d’un voyage en Russie il y a une quinzaine d’année. J’avais trouvé ça plutôt bon (contrairement à mes camarades!), et était un peu déçue de ne pas en trouver en France. Et puis un jour, j’en ai croisé au magasin bio (il ne se promenait pas dans les rayons hein, il attendait sagement que quelqu’un daigne le sortir de là ).
Très souvent je l’associe à de la patate douce écrasée, pour mettre un peu de liant, et/ou à un peu de bouillon de légumes.
C’est très digeste et ça me donne l’énergie nécessaire sans avoir l’impression d’avoir une brique dans le ventre.
Comme je leur ai piqué cette photo, je vous met le lien d’un article sur le sarrasin sur bio à la une.
♣ Le doudou
Ce petit truc que tu fais alors que tu sais que tu vas le regretter. Mais qu’en même temps ce n’est pas si dramatique…
Deux petites choses chez moi:
- soit la mini-part de pizza ou tarte flambée que mangent mes mecs (ouais, le sarrasin ils ne sont pas fans!)
- et/ou le carreau de chocolat pâtissier Nestlé Dessert dans un bout de pain blanc frais (ce combo là même qui te donne des aigreurs d’estomac à peine tes fesses posées sur le canapé)
Mais les doudous c’est important n’est-ce-pas?!
Un article tout riquiqui sur un sujet bien vaste, mais un bon teasing de la nouvelle rubrique « Assiettes » de ce blog 😉
¿ Et toi, tu manges quoi une veille de course?
#HealthyYummy